stéphanie cormier

je brûle je brûle de rage je brûle de rage la montagne je brûle de rage la montagne la nuit brûle rage je brûle mon corps glaçon au creux...

je traverse la place, elle est molle, elle grandit et rétrécit dans un même mouvement, une place de pays des merveilles, un place rose et...

je marche droit devant. les arbres poussent rectilignes, rangés comme les lignes d’un cahier 24x32 ou comme des pieds de vignes dans le...

là là est la maison la maison vide [transparence] ombres allongées promesses perpétuelles rires d'enfants hivers rudes cachettes secrètes...

les ombres s'allongent sur les jours passés le jardin encadre la maison vide la porte ouvre une fenêtre en transparence une invitation à...